Cette histoire a Ă©tĂ© diffusĂ©e dans ma newsletter envoyĂ©e un mardi sur deux, qui t’apporte ta dose dâhumour et de conseils pratiques pour enfin bien vivre de ton activitĂ© et dĂ©culpabiliser.
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J’ai un souvenir trĂšs net d’un repas de famille ayant lieu peu de temps aprĂšs mon lancement d’activitĂ©.
Mon voisin de droite, qui s’y connaĂźt autant en entrepreneuriat que moi en physique quantique, me dit en me regardant droit dans les yeux :
Ăcoute, si tu as dĂ©missionnĂ© de ta super place Ă la banque, c’est pour au moins faire 200.000 euros de chiffre d’affaires par an,
Sinon, tu aurais mieux fait de rester.
Ambiance (đŻ).
Je n’ai pas rĂ©pondu.
Par contre, je suis repartie avec une question d’une tonne dans mon sac Ă dos.
Est-ce que…
Euh, et mĂȘme lĂ , j’ai du mal Ă te le dire.
Est-ce que je manque d’ambition ?
Parce que n’en dĂ©plaise Ă mon voisin, je n’ai pas du tout envie de faire 200.000 euros de CA annuel.
Moi, j’ai envie de bien gagner ma vie, de kiffer mon activitĂ© et la libertĂ© qu’elle m’apporte.
Full stop.
Du coup, si toi aussi, tu te demandes si tu as assez d’ambition ?
VoilĂ ce que je te propose :
Rappelle-toi que ton ambition est la bonne. Pas la peine de coller aux stĂ©rĂ©otypes de l’entrepreneur hyperactif qui te parle depuis le pont de son yacht (đ).
Petit GIF de ma tĂȘte le jour oĂč j’ai compris ça :
So proud âșïž
Et toi, dis-moi, t’as quelle tĂȘte quand tu te dis que ton ambition est la BONNE ?